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Immunologue français reconnu, mais également pionnier dans le domaine de la greffe d’organes, le dr. Jean Seignalet s’est penché tout au long de sa carrière sur le lien entre l’alimentation moderne et l’affaiblissement du système immunitaire, à l’origine du développement de nombreuses pathologies.

Dans les années 80, le dr. Seignalet s’est lancé le défi d’enrayer un grand nombre de maladies chroniques et auto-immunes par la mise au point d’un régime alimentaire parfaitement adapté à l’organisme humain. Il lui donnera son nom : le régime Seignalet.

Afin de démontrer l’efficacité de son régime alimentaire, le dr. Seignalet a mené des études durant une vingtaine d’années sur plus de 2 500 patients, qui totalisaient à eux tous 115 maladies chroniques différentes.

Les études du dr. Seignalet, détaillées dans ses multiples ouvrages, ont démontré deux éléments :

La grande majorité des maladies chroniques et auto-immunes trouvent leur origine dans une alimentation inadaptée à notre organisme, composée principalement de gluten, de lactose, de graisses saturées, de sucre raffiné et d’additifs alimentaires chimiques.
Plus de 90 % des maladies chroniques et auto-immunes peuvent être vaincues uniquement par l’adoption du régime alimentaire le plus adapté à l’organisme humain : le régime Seignalet.

Qu’est-ce que le régime Seignalet ?

Depuis l’apparition de l’espèce humaine, nous sommes génétiquement programmés pour consommer des produits de la nature, ne nécessitant aucune transformation : fruits, légumes, légumineuses, œufs, noix et graines, poisson et viande.

Or, l’évolution de notre société nous a menés à la consommation massive de produits industriels ultratransformés, contenant graisses saturées, sucre raffiné, gluten, lactose et additifs chimiques. Cependant, notre composition génétique n’ayant changé que de 0,02 % depuis l’Homme de Cro-Magnon, nous ne possédons pas les enzymes nécessaires à la digestion d’aliments transformés. Par ailleurs, le caractère partiellement synthétique et les composants chimiques de ces produits présentent un certain degré de toxicité pour l’organisme, surtout à long terme.

Ainsi, l’immense déséquilibre entre nos besoins physiologiques et notre alimentation, dépourvue de toute valeur nutritive et potentiellement toxique, génère une réponse adaptative de l’organisme : la maladie.

Dans le but de prévenir ou traiter ces pathologies, le dr. Jean Seignalet a mis au point le régime alimentaire le plus adapté à l’organisme humain : le régime Seignalet.

Le régime Seignalet est tout simplement notre régime alimentaire originel. Il est donc celui pour lequel nous sommes génétiquement programmés. De plus, le régime Seignalet constitue la seule hygiène alimentaire destinée à prévenir les maladies chroniques et à éliminer toute graisse superflue. Autrement dit, le régime Seignalet nous permet de conserver (ou de retrouver) ligne et santé.

A l’origine, l’alimentation était notre carburant, assurant notre parfait état de fonctionnement. Aujourd’hui, l’alimentation siphonne notre énergie et détériore gravement notre santé physique et mentale.

Si nous nous sommes dangereusement éloignés de notre propre nature, par ignorance ou mépris de nos besoins, le régime Seignalet nous offre l’opportunité de sortir de la dégénérescence, pour renouer enfin avec nos origines… et la santé.

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Composition du régime Seignalet et aliments proscrits

Si les médecins ne se font pas nutritionnistes, les nutritionnistes d’aujourd’hui seront les médecins de demain.
Thomas Edison

De quels aliments se compose le régime Seignalet ?

légumes frais,
fruits frais,
poisson frais,
céréales non mutées (voir « Qu’est-ce qu’une céréale mutée ? »),
oeufs,
légumineuses,
noix et graines,
charcuterie crue,
volaille,
viande fraîche.

Quels sont les aliments proscrits par le régime Seignalet ?

Lorsqu’on cesse de manger des aliments qui portent des noms commerciaux, on peut cesser de compter les calories.
Amanda Kraft (auteure américaine)

Tous les produits transformés contenant :

du gluten (pain, pâtes alimentaires, pizzas, viennoiseries, biscuits, gâteaux…) ;
du lactose (lait, beurre, crème, fromage frais, fromage à pâte molle, yaourts) ;
du sucre raffiné (confiseries, chocolat, biscuits, pâtisseries, crème glacée, sodas…) ;
du sel raffiné (sel de table) ;
des acides gras saturés (graisse issue des aliments transformés) ;
des acides gras trans (graisse issue des aliments ultratransformés ou « junk food ») ;
des additifs alimentaires chimiques (colorants, conservateurs, acidifiants, édulcorants, épaississants, exhausteurs de goût).

Schéma comparatif : régime Seignalet et alimentation industrielle

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Les bienfaits du régime Seignalet sur la santé

Que l’aliment soit votre médicament.
Hippocrate

Fruits, légumes et céréales non mutées

Des fruits et légumes : oui, mais bio

Pourquoi est-ce si important de privilégier les fruits et légumes issus de l’agriculture biologique ?

Les fruits et légumes produits par l’agriculture traditionnelle sont quasiment tous imprégnés de substances chimiques toxiques : insecticides, herbicides, fongicides…
Tous les apports nutritionnels d’un fruit/légume sont annulés par la présence massive de ces pesticides.
Les médias évoquent des « résidus de pesticides », sans jamais préciser leur nombre. Pour délier les langues de bois, Greenpeace a mené l’enquête jusque dans les vergers ! Les résultats, publiés en 2016, sont accablants : on apprend que la pomme, fruit préféré des Français, subit la pulvérisation de 35 produits toxiques (herbicides, fongicides, insecticides…). En outre, ces pesticides présentent le risque de former un effet « cocktail », c’est-à-dire des interactions de molécules chimiques, provoquant des effets extrêmement néfastes pour la santé.

En lavant une pomme, vous éliminez environ un cinquième de ses résidus de pesticides. En lavant et en épluchant la pomme, vous éliminez environ un quart de ses pesticides. Donc, quelques précautions que vous puissiez prendre avant de consommer une pomme, vous absorberez les trois quarts du nombre total de produits toxiques dont la pomme est imprégnée, à savoir 26 pesticides en moyenne.

Source : www.greenpeace. fr/pomme-souvent-empoisonnee-pesticides

Selon une enquête menée en 2017 par Obsoco (l’Observatoire société et consommation), 82 % des consommateurs se disent plus attentifs à la qualité de leur alimentation que trois ans plus tôt.

Poisson et oeufs

Viande et volaille : en mode « flexitarien »

La viande fraîche est un aliment autorisé par le régime Seignalet. Pourtant, si la consommation régulière de poisson est hautement bénéfique pour la santé, il n’en va pas de même pour la viande et la volaille, pour les raisons suivantes :

La moindre qualité de la viande

La viande que consommaient nos ancêtres de l’ère paléolithique était très différente de celle que nous connaissons. En effet, ils se nourrissaient des organes internes de leurs proies : la cervelle, la rate, le foie… Ces organes possédaient une valeur nutritionnelle très élevée. De plus, leur tendreté les rendait faciles à avaler et digérer.

Aujourd’hui, nous consommons majoritairement des parties pauvres en nutriments (l’épaule, la poitrine, la cuisse…). En outre, la sécheresse de cette viande nous contraint à la noyer dans la matière grasse pour faciliter son ingestion. On peut donc imaginer la difficulté à laquelle est confronté notre organisme pour la digérer.

Il faut bien l’admettre : les choix des humains de la Préhistoire concernant leur santé étaient plus judicieux que les nôtres.

Les difficultés de digestion de la viande

Qu’y a-t-il de plus abominable que de se nourrir continuellement de cadavres ?

Voltaire

Si l’intestin est fragilisé, il n’est plus en mesure de digérer la viande telle que consommée aujourd’hui. Celle-ci entre donc en putréfaction dans l’intestin, entraînant des conséquences désastreuses : prolifération de bactéries pathogènes, de déchets toxiques, porosité intestinale… Or, la majorité de la population occidentale souffre de pathologies digestives chroniques. La viande est donc globalement délétère pour la santé.

La contamination de la viande

La viande actuelle est contaminée par une grande quantité d’hormones, mais également par les antibiotiques administrés systématiquement aux animaux. En outre, elle contient les résidus des pesticides et herbicides ingérés par les animaux. Il faut donc se rendre à ce constat : comme la majorité des aliments modernes, la viande est devenue toxique pour notre organisme.

L’unique solution pour éviter ces contaminations consiste à privilégier la viande bio.

Une « chasse » inégale

Notre façon de nous procurer de la viande a radicalement changé.

À l’ère paléolithique, les hommes chassaient les animaux sauvages « à la loyale ». Par conséquent, la capture d’un gibier annonçait un repas de fête. Aujourd’hui, la plupart des gens préfèrent détourner le regard de la honteuse façon dont ils se procurent leur steak quotidien…

L’exploitation animale

Dans notre assiette, on trouve des aliments qui, quelques jours plus tôt, étaient des êtres vivants. Ces aliments que nous dégustons en sauce avaient une intelligence, une sensibilité, une famille. Mais nous avons décidé qu’ils n’étaient nés que pour mourir pour nous.

Pour notre survie ? Non, pour nos papilles. C’est au nom de ce plaisir gustatif que des millions d’animaux passent leur courte existence sans jamais voir la lumière du jour ni brouter de l’herbe verte. C’est également au nom de ce plaisir que ces animaux subissent des conditions de vie (et de mort) d’une atrocité que notre regard aurait peine à soutenir et que nous avons pourtant tendance à minimiser. Pourquoi ? Pour pouvoir continuer à manger des animaux.

Nous qui nous prétendons « humains », si nous commencions à le devenir ?

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L’efficacité prouvée du régime Seignalet sur les maladies chroniques (en chiffres)

La liberté, c’est la volonté d’être responsable de soi-même.
Friedrich Nietzsche

Durant près de vingt ans, le dr. Jean Seignalet a suivi plus de 2500 personnes souffrant de maladies chroniques, dont certaines étaient considérées comme incurables. Ces patients ont accepté de suivre le régime Seignalet pour une durée minimale de six mois. Ce changement de nutrition a influé positivement sur l’état de santé de 2250 patients sur 2500, allant de l’amélioration nette à la rémission complète de la maladie.

Voici la retranscription en trois tableaux des résultats des recherches du dr. Jean Seignalet.

Résultats du régime Seignalet dans les maladies d’élimination (liste non exhaustive)

Maladies	Nombre de malades	Rémissions complètes	Améliorations nettes	Améliorations à 50 %	Proportion de succès
Gastrite	19	18	–	1	100 %
Urticaire	34	29	5	–	100 %
Bronchite chronique	42	39	–	3	100 %
Acné	42	40	2	–	100 %
Aphtose	14	10	4	1	100 %
Maladie de Crohn	72	62	2	7	99 %
Colite	237	233	–	–	98 %
Asthme	85	80	–	3	98 %
Rhinite chronique	63	58	–	3	97 %
Conjonctivite allergique	30	26	1	2	97 %
Oedème de Quincke	27	22	2	2	96 %

Résultats du régime Seignalet dans les maladies d’encrassage (liste non exhaustive)

Maladies	Nombre de malades	Rémissions complètes	Améliorations nettes	Améliorations à 50 %	Proportion de succès
Diabète sucré de type 2	25	20	–	5	100 %
Dyspepsie	63	62	–	1	100 %
Dépression nerveuse endogène	30	25	5	–	100 %
Arthrose	118	47	52	12	94 %
Spasmophilie	52	46	2	1	94 %
Migraines	57	41	12	–	93 %
Maladie de Parkinson	11	–	7	3	91 %
Fibromyalgie	80	58	10	4	90 %

Résultats du régime Seignalet dans les maladies auto-immunes (liste non exhaustive)

Maladies	Nombre de malades	Rémissions complètes	Améliorations nettes	Améliorations à 50 %	Proportion de succès
Sclérodermie	14	14	–	–	100 %
Sclérose en plaques	46	13	20	8	95 %
Spondylarthrite ankylosante	122	76	40	–	95 %
Lupus érythémateux disséminé	20	10	6	3	95 %
pseudo-polyarthrite rhizomélique	17	12	4	–	94 %
Rhumatisme inflammatoire	15	12	–	2	93 %
Rhumatisme psoriasique	39	15	10	11	92 %
Gougerot-Sjögren	86	15	11	48	86 %
Polyarthrite rhumatoïde	297	127	100	18	82 %

Dans certains cas, un chiffre vaut mille mots…

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Par quoi remplacer le gluten ?

Qui n’a pas atteint la maîtrise de lui-même ne connaît pas la liberté.
Pythagore

1. Choisir des farines sans gluten

En cuisine, comment réaliser des crêpes, des gaufres, des cookies ou même du pain sans gluten ? Ce large éventail de farines sans gluten vous aidera à concocter de savoureuses recettes, idéalement avec du sucre non raffiné et du lait végétal.

Farine de riz	Farine de sarrasin
Farine d’amarante	Farine de sorgho
Farine de châtaigne	Farine de lupin
Farine de millet	Farine de lentilles
Farine de quinoa	Farine de souchet
Farine de pois chiches	Farine de chanvre
Farine de teff	Farine de noix de coco

A éviter : la farine de maïs et la farine de millet

Le maïs et le millet sont des céréales mutées ne contenant pas de gluten. Cependant, comme toutes les céréales mutées, elles possèdent des agents pro-inflammatoires. Par conséquent, leur consommation régulière est fortement déconseillée.

Pour obtenir des informations ou conseils d’utilisation sur les différentes farines, vous pouvez consulter les sites suivants :

« Valpibio », dans la partie : « Les farines sans gluten sont nombreuses, comment les utiliser ? » ;
« Ma vie sans gluten » dans la partie : « Zoom sur les farines sans gluten ».

2. Remplacer les « produits » par des aliments

Dans le point « Quels produits contiennent-ils du gluten ? », vous trouverez une liste non exhaustive de produits contenant du gluten.

Les produits alimentaires de base contenant du gluten (pain, pâtes, couscous…) peuvent être remplacés à chaque repas par les plantes et graines ci-dessous.

Le sarrasin

Le sarrasin est une graine qui s’apparente aux céréales.

Ses atouts santé

Il contient jusqu’à 15 % de protéines, il possède des propriétés anti-oxydantes, il favorise la satiété, il est riche en vitamines et minéraux.

Comment consommer le sarrasin ?

Les graines de sarrasin se consomment en risotto, salade, poêlée ou porridge.

Le quinoa

Le quinoa est un légume de la famille des légumes à feuilles. C’est sa graine qui est consommée.

Ses atouts santé

Excellente source de protéines végétales, il renferme également tous les acides aminés nécessaires pour les assimiler. Riche en fibres, il est excellent pour le transit. Riche en minéraux et oligoéléments.

Comment consommer le quinoa ?

Il se déguste avec les mêmes accompagnements que le riz, la semoule ou les pâtes.

Attention : il faut rincer abondamment le quinoa avant la cuisson pour ôter la couche de saponine dont il est recouvert. La saponine est dangereuse pour certains animaux et peut être indigeste pour les enfants en bas âge (avant deux ans). De plus, elle confère au quinoa un goût amer.

L’amarante

L’amarante une plante consommée comme l’épinard en Amérique centrale. C’est sa graine qui est consommée dans nos pays.

Ses atouts santé

Riche en protéines végétales, elle possède une bonne teneur en minéraux, en fibres et en vitamines du groupe B.

Comment consommer l’amarante ?

La texture légèrement gluante de sa graine la rend parfaite dans la préparation de soupes, galettes, bouillies, etc. On peut également faire griller les graines d’amarante comme du pop-corn.

La lentille

La plus digeste des légumineuses, consommée depuis près de 10 000 ans en Asie centrale, la lentille est une valeur sûre de l’alimentation.

Ses atouts santé

Riche en protéines végétales, la lentille constitue une excellente source de flavonoïdes (antioxydants), fibres, vitamines et minéraux. De plus, elle est très rassasiante.

Comment consommer les lentilles ?

Blonde et sucrée, verte au parfum de noisette ou corail à la saveur poivrée, la lentille se marie harmonieusement avec de nombreux aliments pour des recettes savoureuses : viande, poisson, légumes… La lentille se cuisine en salade, purée, soupe ou plat mijoté.

Attention : avant de faire cuire les lentilles, il faut les rincer avec de l’eau et éliminer celles qui flottent.

Le tapioca

Le tapioca est une fécule issue du manioc, racine de couleur blanche. Réduit en poudre, le manioc devient farine. C’est de cette farine qu’est issu le tapioca.

Ses atouts santé

Importante source de fibres et de fer, le tapioca garantit un bon transit intestinal. Epaississant naturel, il favorise la sensation de satiété.

Comment consommer le tapioca ?

Le tapioca est utilisé comme épaississant naturel dans les potages, les sauces et les desserts.

Attention : l’index glycémique du tapioca est élevé, ce qui le rend susceptible d’augmenter le taux de glycémie dans le sang. Il faut donc éviter d’abuser du tapioca.

3. Opter pour des produits bio sans gluten

Pour le plaisir de nos papilles, il existe aujourd’hui de multiples alternatives aux produits contenant du gluten. Le goût de ces produits est quasiment identique, mais leurs effets sur notre santé sont très différents…

Grâce aux produits sans gluten et bio, il est donc possible de ne pas renoncer aux plaisirs de la gourmandise, tout en évitant le gluten et ses conséquences néfastes sur la santé.

Pourquoi choisir des produits bio ?

Les produits biologiques garantissent :

des ingrédients d’origine naturelle (exemple : sucre non raffiné) ;
l’absence d’additifs alimentaires chimiques : les conservateurs, épaississants, édulcorants et autres additifs contenus dans les produits bio sont tous d’origine naturelle (exemples : acide ascorbique, gomme xanthane).

4. Découvrir les recettes faciles et gourmandes du régime Seignalet

Dans ces ouvrages, co-rédigés par la fille du dr. Seignalet, vous trouverez bien plus que des recettes de cuisine santé, savoureuses et faciles à préparer : vous y trouverez le début de votre nouvelle vie.

Auteurs : Anne Seignalet, Valérie Cupillard, Emmanuel Cupillard

Titre : « L’essentiel du régime Seignalet : recettes gourmandes »

Résumé du livre de recettes :

Découvrez 60 recettes gourmandes pour cuisiner chaque jour avec plaisir et simplicité en appliquant les principes de l’alimentation Seignalet. Ces recettes saines et gourmandes sont accompagnées de nombreux conseils pratiques, pour répondre à toutes vos questions : comment remplacer un petit déjeuner classique ? Quelle farine choisir pour ma pâte à tarte ? Comment remplacer la béchamel ou le beurre dans un gratin ? Que mettre dans mon bento pour déjeuner au bureau ? Comment faire un gâteau sans beurre ni farine de blé ? Quelle huile adopter pour mes cuissons douces ?… La diététique du Dr Seignalet favorise les aliments et modes de cuisson les mieux adaptés au corps humain. Il préconise d’éviter les aliments mal digérés (laits animaux et céréales mutées) qui peuvent à terme provoquer des maladies et recommande le cru et les cuissons douces (à moins de 110°C). La méthode Seignalet est un ensemble de pratiques alimentaires très efficaces pour lutter contre plus de 90 maladies chroniques (arthrose, colite, diabète, Parkinson…). Au-delà des bienfaits sur la maladie, ceux qui pratiquent le régime Seignalet ressentent un regain d’énergie, moins de fatigue, plus de plaisir à manger, et retrouvent leur poids de forme dans 80 % des cas.

Auteurs : Anne Seignalet et Frédérique Cervoni

Titre : « Le régime Seignalet en 45 recettes spécial cru : 100 % sans gluten

et sans lait »

Résumé du livre de recettes :

Manger cru selon les principes du régime Seignalet, ce n’est pas manger triste ! Du carpaccio de bar à la mangue au cheesecake vegan aux fruits rouges, en passant par les rouleaux de printemps au magret séché, découvrez toute la richesse de cette alimentation saine et énergisante ! Vous trouverez également dans ce livre tous les conseils et astuces pour pratiquer l’alimentation crue dans le cadre du régime Seignalet : Comment manger cru et équilibré ? Quel est le matériel adapté ? Comment apporter plus de goût et de croquant ? Comment varier les menus au quotidien ?… Avec le cru, vous allez vous régaler ! Qui l’eût cru ?

DECOUVREZ LE REGIME SEIGNALET

Auteurs : Anne Seignalet et Valérie Cupillard

Titre : « Le régime Seignalet en 60 recettes – Tous les conseils pratiques

pour un quotidien sans gluten et sans lait »

Résumé du livre de recettes :

CHANGEONS NOS HABITUDES POUR NOTRE BIEN-ÊTRE !

La diététique du Dr Seignalet préconise d’éviter les aliments difficiles à digérer (laits animaux et céréales mutées) qui peuvent à terme provoquer des maladies et recommande le cru et les cuissons douces. Regain d’énergie, moins de fatigue, plus de plaisir à manger : testez vous-même !

Comment remplacer un petit déjeuner classique, le beurre dans un gratin ? Quelle farine choisir pour la pâte à tarte et quelle huile pour les cuissons douces ? Les réponses à toutes vos questions sont dans cet ouvrage !

60 recettes faciles, saines et gourmandes, à réaliser au quotidien.

Anne Seignalet est la fille du Dr Jean Seignalet. Depuis plusieurs années, elle communique sur les travaux de son père, portant en elle les valeurs et les convictions du régime Seignalet.
Valérie Cupillard est créatrice culinaire spécialisée dans la cuisine de santé. Elle est l’auteur de trente-cinq livres et tient le blog « Biogourmand ».

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Par quoi remplacer le lait et les produits laitiers ?

Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge.
Winston Churchill

1. Choisir du lait d’origine végétale

Le prix d’une bouteille de lait « sans lactose » étant à peu près équivalent à celui d’une bouteille de lait végétal, l’idéal consiste à opter pour l’une des nombreuses boissons végétales listées ci-dessous. Délicieuses, naturelles et aux saveurs variées, elles feront le bonheur de vos papilles, de votre santé et des vaches !

Les boissons à base de céréales sans gluten

Lait de riz ;
Lait de sarrasin ;
Lait de quinoa.

Les boissons à base de fruits ou fruits secs

Les boissons à base de légumineuses

Lait de soja ;
Lait de cacahuète.

Où trouver les boissons végétales ?

On trouve des boissons végétales dans la plupart des supermarchés traditionnels. Par ailleurs, les magasins bio offrent souvent un panel de produits plus étendu. Exemples :

La Vie Claire
Biocoop
Bio c’Bon
So Bio

Pour découvrir un large éventail d’alternatives végétales aux produits laitiers, listées par types de produits et marques, avec illustrations, vous pouvez consulter le site suivant :

www.Petafrance. com – Les alternatives véganes aux produits laitiers

Quid du lait « sans lactose » ?

Que signifie « sans lactose » et que contiennent ces produits ?

Le lait étiqueté « sans lactose » contient en réalité du lactose, puisque celui-ci constitue le sucre principal du lait. La différence avec le lait traditionnel réside dans un ajout et non une suppression. Lors du processus de fabrication, les industriels ajoutent au lait une enzyme nous permettant de digérer le lactose : la lactase.

Donc, ce lait devrait être étiqueté « avec lactase » et non « sans lactose ». Pourtant, c’est ce dernier terme qui a été choisi, par souci de compréhension du consommateur.

Le processus de fabrication du lait sans lactose

Le processus de fabrication du lait sans lactose comporte plusieurs étapes de fermentation du lait au moyen de champignons produisant l’enzyme lactase.

Les champignons sont sélectionnés dans le groupe constitué principalement par Aspergillus oryzae, mais également Aspergillus niger et Rhizopus oryzae.

Trois bonnes raisons d’éviter le lait sans lactose

Raison philosophique

Il peut paraître insensé de lutter contre un processus génétique (autrement dit, la volonté de la nature) au point d’introduire artificiellement une enzyme dont nous sommes dépourvus dans un liquide que nous ne sommes pas génétiquement conçus pour ingérer…

Raison de santé

Dans un produit laitier ou du lait sans lactose, le processus chimique de l’hydrolyse lactique (la découpe des deux molécules de lactase) s’effectue par l’ajout d’une enzyme au produit laitier ou au lait. L’enzyme la plus largement utilisée dans ce processus est l’Aspergillus oryzae. Il s’agit d’une lactase d’origine fongique.

Or, en 2017, le gouvernement canadien a réalisé l’évaluation scientifique d’une souche d’Aspergillus oryzae pour déterminer le risque potentiel pour la santé humaine. Voici les résultats de cette évaluation :

« La souche ATCC 11866 d’Aspergillus oryzae est un champignon qui peut avoir de nombreuses utilisations, dont la production d’enzymes (comme la lactase).

La souche ATCC 11866 d’Aspergillus oryzae est un micro-organisme de priorité A (danger plus élevé). Cela signifie que le gouvernement du Canada l’a considéré comme étant un agent pathogène humain et que son niveau de danger est incertain.

Effets principaux sur la santé et l’environnement

La souche ATCC 11866 d’Aspergillus oryzae présente les mêmes caractéristiques dangereuses que l’espèce Aspergillus flavus, qui provoque des infections des sinus et des yeux chez les personnes en santé ainsi que des maladies pulmonaires et des infections systémiques potentiellement mortelles chez les groupes vulnérables (par exemple, personnes immunodéprimées, personnes âgées, nouveau-nés).

Il est établi que certaines souches d’Aspergillus oryzae ont infecté des personnes immunodéprimées.

Mesures préventives et réduction des risques

La souche ATCC 11866 d’Aspergillus oryzae pourrait affecter la santé humaine en cas d’exposition accrue.

Source : canada. ca – Aspergillus oryzae – fiche d’information

Note : n’étant ni médecin ni scientifique, je souhaite simplement partager des informations recueillies sur le site officiel du gouvernement canadien. Pour prendre en toute connaissance de cause la décision de consommer ou non des gélules de lactase, il revient au lecteur d’aller plus avant dans sa collecte d’informations.

Raison éthique

Aujourd’hui, trop de consommateurs ignorent encore les conditions effroyables dans lesquelles les vaches laitières sont exploitées :

implantations de méga-élevage ;
« zéro-pâturage » (aucun accès à l’extérieur) ;
inséminations artificielles à répétition ;
traites pendant la grossesse ;
séparation mère-petit dans les 24 heures ;
inflammations chroniques des mamelles ;
lésions des pattes ;
production intensive (4 fois plus que la normale) ;
espérance de vie extrêmement courte.

Refuser de consommer les produits issus du lait d’origine animale, c’est refuser l’exploitation et la maltraitance des animaux.

L’homme a peu de chances de cesser d’être un tortionnaire pour l’homme, tant qu’il continuera à apprendre sur l’animal son métier de bourreau.
Marguerite Yourcenar

Pour en savoir plus sur les conditions d’élevage des vaches laitières :

l214. com – La vie des vaches laitières
ciwf. fr – animaux-delevage/vaches-laitieres

2. Opter pour les produits laitiers végétaux

Aujourd’hui, tous les produis laitiers existent en version végétale : fromage, beurre, yaourts, crème. De nouvelles créations sont régulièrement disponibles et s’approchent désormais au plus près du goût des produits laitiers à base de lait animal.

Par conséquent, il est possible de ne pas renoncer aux plaisirs d’une cuisine gourmande, tout en évitant les risques pour la santé et l’exploitation animale liés à la consommation de produits laitiers.

Le prix de ces produits est un peu plus élevé ? Le marché nous inonde de produits de médiocre qualité, souvent néfastes pour notre santé, à (trop) bas prix. Il est temps de retrouver le goût des produits sains, à des prix en adéquation avec leur qualité.

Où trouver des produits laitiers végétaux ?

On trouve des produits laitiers végétaux dans certains supermarchés traditionnels, mais surtout dans les magasins bio. Exemples : La Vie Claire, Biocoop, Bio c’Bon, So Bio.

Les gélules de lactase : pourquoi ne pas y céder ?

Il existe aujourd’hui une alternative aux produits de substitution : les gélules de lactase. Chaque gélule contient l’enzyme lactase. La prise d’une gélule permet de digérer tout produit laitier pendant 24 heures. Alors, pourquoi ne pas choisir la « solution de facilité » ? Voir le point « Trois bonnes raisons d’éviter le lait sans lactose ».

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Par quoi remplacer le sucre raffiné ?

Ceux qui pensent qu’ils n’ont pas de temps à consacrer à leur santé devront trouver beaucoup plus de temps pour la maladie…
Edward Stanley

1. Choisir le sucre brut (non raffiné) et ses bienfaits pour la santé

La consommation journalière de sucre brut (non raffiné) est nécessaire car ses nombreux nutriments constituent un puissant moteur de l’organisme.

Le bienfait principal du sucre brut (non raffiné) est de nature énergétique : 1 gramme de sucre = 4 kcal. Le glucide transformé en glucose est utilisé par l’organisme par les cellules pour produire de l’énergie ou stocké dans le foie et les muscles en tant que réserve énergétique.

Le sucre brut est riche en sels minéraux : potassium, magnésium, calcium, fer, phosphore, fluor, cuivre, manganèse, zinc…

Il contient de la vitamine E, mais également du groupe B (B1, B2, B5), indispensable à l’organisme pour métaboliser les glucides.

Si le sucre brut est une excellente source d’oligoéléments, il contient également des acides aminés.

Environ 140 grammes de sucre brut par jour sont nécessaires au fonctionnement optimal des cellules nerveuses du cerveau. Il entre dans la composition de plusieurs molécules et tissus organiques (certaines enzymes, cartilages…) : il possède donc un rôle structural.

Le sucre non raffiné est un élément de protection et de communication cellulaires, indispensables au bon fonctionnement du système immunitaire.

Le sucre brut favorise un endormissement plus rapide : son assimilation entraîne une élévation du taux de sérotonine et de mélatonine, deux hormones qui agissent sur l’endormissement.

Le sucre non raffiné apporte une sensation de satiété et participe à la régulation de l’appétit. En effet, la mélasse qu’il contient lui confère un fort pouvoir aromatique et sucrant, ce qui permet de réduire sans efforts sa consommation de sucre. Par exemple, 50 g de sucre non raffiné équivalent à 100 g de sucre blanc.

Enfin, le sucre brut est riche en glucides à index glycémique élevé. Ces sucres rapides présentent un intérêt en cas d’effort physique ou intellectuel prolongé : lorsque la fatigue se fait sentir, il apporte un regain d’énergie.

2. Opter pour le sucre brut (non raffiné) en cuisine

*Dans l’industrie du bio, l’utilisation de sucre non raffiné est obligatoire.

Quid du sucre roux et de la cassonade ?

En dépit de leur couleur trompeuse, le sucre roux et la cassonade sont des sucres raffinés qui ont été recolorés à l’aide d’un colorant.

3. Choisir des douceurs au sucre non raffiné

Les viennoiseries bio (l’utilisation de sucre brut est obligatoire) et sans gluten

Les fruits séchés

Les galettes de riz au chocolat noir bio

Les dattes

Les biscottes de céréales sans gluten à la confiture bio

Le chocolat noir bio (dégustation ou pâtissier)

4. Se régaler avec des desserts naturels

L’ouvrage « Gâteaux et biscuits Paléo » regroupe des recettes savoureuses et faciles à préparer. Leur particularité : toutes les recettes sont à base de sucre d’origine naturelle. Elles ne contiennent ni sucre raffiné, ni gluten, ni lactose. Pourquoi ? Car elles sont issues du régime Paléo (voir « Le régime Paléo, Seignalet « à la dure » »)

Auteur : Elise, du blog « Fitnessfriandises.fr »

Titre : Gâteaux et biscuits Paléo – 35 recettes faciles

Résumé du livre de recettes :

35 recettes de gâteaux et biscuits sans céréales, sans gluten, sans lait, sans légumineuses, faciles à préparer, savoureuses et nutritives.

Elise, du blog Fitnessfriandises.fr, vous propose des recettes équilibrées utilisant un éventail de produits intéressants : farine de chanvre, farine de châtaignes, fruits, tubercules…

Toutes les recettes demeurent cependant faciles à réaliser, sans longue liste d’ingrédients et sans chichis.

Toutes les recettes mentionnent aussi leurs valeurs nutritionnelles : calories par portion, grammes de protéines, de glucides, de sucre, de lipides et de fibres.

Faites-vous plaisir sans renoncer à vos habitudes alimentaires !

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Les compléments alimentaires « réparateurs »

Il faut se nourrir avec son cerveau, pas son estomac.
Coco Chanel

Pourquoi « se réparer » ?

Vous l’aurez compris, le régime Seignalet fait des miracles : véritable régénérateur de l’organisme, il est capable de faire régresser jusqu’à leur disparition l’immense majorité des maladies chroniques et auto-immunes.

Le seul pouvoir que le régime Seignalet ne détienne pas, c’est celui de guérir les organes endommagés. Ce pouvoir appartient aux compléments alimentaires « réparateurs ».

Les pathologies liées à l’alimentation moderne font immanquablement fait des ravages dans le corps : lésions, inflammations, œdèmes, mais aussi porosité intestinale, avec passage de bactéries et déchets toxiques dans le sang. C’est là qu’interviennent les trois compléments alimentaires « réparateurs ».

Comme chacun le sait, lorsque la guerre est finie, il faut reconstruire sur un champ de ruines. Ainsi, tandis que les aliments « Seignalet » travaillent à hisser le drapeau blanc dans notre corps et à vaincre la maladie, les compléments « réparateurs » reconstruisent brique par brique l’intérieur de notre corps, tels des maçons au cœur d’une ville dévastée.

Mon expérience des compléments alimentaires « réparateurs »

J’ai adopté le régime Seignalet pour traiter, entre autres, des reflux gastro-œsophagiens dus à une alimentation inadaptée. La consommation exclusive d’aliments naturels m’a fait vaincre la maladie en seulement six semaines : la guerre était gagnée. En revanche, les reflux acides m’avaient provoqué un œdème à l’œsophage et des lésions au pharynx : ces organes étaient mon « champ de ruines ». Alors, pour reconstruire ma ville intérieure, j’ai eu recours aux compléments alimentaires « réparateurs ».

Pourquoi choisir les compléments alimentaires « réparateurs » ?

Vous pouvez faire confiance aux compléments alimentaires « réparateurs » du régime Seignalet pour les raisons suivantes :

Il s’agit de traitements 100 % naturels ;
Ils sont très économiques ;
Ils sont d’une extrême efficacité ;
Ils ne présentent aucun effet secondaire ;
Les résultats sont rapidement observables ;
Les produits issus de la nature et non transformés possèdent toutes les propriétés nécessaires à la préservation de votre santé.

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Le charbon végétal activé

Qu’est-ce que le charbon végétal activé ?

Le charbon végétal est le plus efficace des désintoxicants naturels.

Il s’agit de carbone pur issu de la combustion d’écorce de noix de coco (le plus actif), de frêne ou de peuplier. La poudre ébène obtenue est ensuite chauffée à très haute température, ce qui lui confère une qualité d’adsorption exceptionnelle (environ cent fois son volume en gaz).

Il faut savoir que l’adsorption est la qualité opposée à l’absorption : l’adsorption est la capacité pour un solide poreux de retenir à sa surface les molécules, les liquides ou les gaz. En revanche, pour l’absorption, les liquides ou les gaz pénètrent dans un organisme vivant à travers une paroi perméable.

Les vertus médicinales du charbon végétal activé

Effet assainissant : le charbon végétal activé purifie l’ensemble de l’organisme (sang et organes internes).
Effet désintoxiquant : son action est très efficace en cas de surdose médicamenteuse, intoxication légère aux métaux lourds, empoisonnement du sang.
Effets sur les troubles intestinaux : le charbon végétal activé régule le transit intestinal, calme la diarrhée, la gastro-entérite et la constipation liée à la fermentation intestinale.
Effets sur les troubles digestifs : le charbon végétal activé calme les brûlures d’estomac et reflux gastro-oesophagiens. Il soigne également l’aérophagie, les flatulences, ballonnements, éructations. Il agit par ailleurs sur le syndrome du côlon irritable et les crampes dues à une surconsommation de lipides et de sucres.
Prévention des maladies cardiovasculaires : le charbon végétal activé possède des propriétés hypocholestérolémiantes. Il abaisse le cholestérol et les triglycérides sanguins.
Suppression de l’halitose (mauvaise haleine).
Équilibrage de l’insuffisance rénale.

Anecdote : en 1831, devant les membres de l’Académie française de médecine, le chimiste et pharmacien français Pierre-Fleurus Touéry ingère une dose létale de strychnine enrobée de charbon végétal activé et… s’en sort indemne ! Cette initiative était destinée à démontrer au corps médical l’impressionnant pouvoir d’adsorption et de détoxification immédiate du charbon végétal activé sur l’organisme humain.

Contre-indications

Le charbon végétal n’est pas recommandé aux femmes enceintes ou allaitantes.
Il ne convient pas aux enfants de moins de 6 ans.
Il n’est pas recommandé en cas de constipation sévère.

Interaction avec des médicaments

Le charbon végétal diminue fortement l’efficacité de tous les médicaments chimiques, y compris la pilule contraceptive.

Il est recommandé d’attendre au moins 3 heures entre l’ingestion de charbon végétal et la prise d’un médicament chimique, y compris la pilule contraceptive.

En effet, le charbon végétal activé est un puissant anti-poison…

Conseils d’utilisation

1. Pour traiter les troubles digestifs et intestinaux

En poudre (forme la plus efficace et 100 % naturelle) :

30 minutes avant chaque repas : une demi-cuillère à café de poudre diluée dans un petit verre d’eau.
juste après chaque repas : idem.

En gélules :

30 minutes avant chaque repas : 3 gélules à avaler avec de l’eau.
juste après chaque repas : idem.

Information pratique : le charbon végétal ayant un goût neutre, il est facile à avaler. Par contre, il est recommandé d’utiliser une paille afin d’éviter de maculer les dents. Rincer après la prise.

Durée de la cure :

La durée de la cure est laissée à l’appréciation de l’utilisateur. En effet, il n’existe aucune contre-indication dans le cas d’une cure à long terme.

2. Pour détoxifier l’organisme (pesticides, métaux lourds, prolifération de bactéries pathogènes…)

En poudre (forme la plus efficace) :

1 fois par jour, le matin à jeun.
2 cuillères à café de poudre diluées dans un grand verre d’eau.

En gélules :

1 fois par jour, le matin à jeun.
5 gélules à avaler avec de l’eau.

Durée de la cure :

La durée de la cure est laissée à la libre appréciation de l’utilisateur. En effet, il n’existe aucune contre-indication dans le cas d’une cure à long terme.

Comment choisir un produit efficace et 100 % naturel ?

Il est important de privilégier un charbon sous forme de poudre.

Pourquoi choisir un charbon en poudre ?

Il est actif immédiatement.
Son action est plus globale.
Les gélules sont souvent composées de gélatine animale ou autre substance douteuse, susceptible d’altérer l’efficacité du charbon.
La prise est moins contraignante : deux demi-cuillères à café de poudre (avant et après le repas) équivalent à six gélules.
Le charbon possède un goût neutre. Il est donc facile à ingérer.

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L’argile

Qu’est-ce que l’argile ?

L’argile est le produit de l’érosion de la roche par l’action de l’eau.

Les vertus médicinales des différentes argiles

Contre-indications

La consommation interne d’argile n’est pas recommandée aux femmes enceintes.
Il est déconseillé de consommer toute substance huileuse ou graisseuse en même temps que l’argile ;
Il est déconseillé de consommer du charbon végétal actif simultanément à l’argile, car leurs effets s’annulent. Evitez donc la prise de gélules étiquetées « argile/charbon actif » : il s’agit de produits purement commerciaux, sans aucun intérêt curatif.
Il n’est pas recommandé de mélanger l’argile à l’eau avec un ustensile en métal ou en acier. Privilégiez le bois ou le plastique.

Interaction avec des médicaments

L’argile diminue fortement l’efficacité de tous les médicaments chimiques, y compris la pilule contraceptive.

Il est recommandé d’attendre au moins 3 heures entre l’ingestion d’argile et la prise d’un médicament chimique, y compris la pilule contraceptive.

Conseils d’utilisation

En poudre (forme la plus efficace et 100 % naturelle) :

délayer une cuillère à soupe d’argile dans un demi-verre d’eau.
laisser le verre d’eau pendant quelques heures dans un endroit sec et à température ambiante.
Après quelques heures, vous constaterez qu’une couche d’argile s’est posée au fond du verre et que l’eau a pris une teinte laiteuse. Il s’agit du « surnageant ».
Buvez deux à trois petites gorgées du « surnageant » (l’eau imprégnée d’argile), sans ingérer l’argile posée au fond du verre.

Durée de la cure :

Environ 3 semaines (1 fois par jour, de préférence le soir).

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Le jus d’aloe vera

Qu’est-ce que l’aloe vera ?

L’aloe vera est une plante grasse aux feuilles piquantes et persistantes, originaire d’Afrique du Sud. Les innombrables vertus curatives de l’aloe vera lui ont valu la réputation de « remède miracle ».

Un concentré de bienfaits

L’aloe vera contient les micro-nutriments suivants :

Vitamines : A, B, C, E ;
Sels minéraux : calcium, zinc, cuivre, fer, manganèse, phosphore ;
Acides aminés : 7 des 8 acides aminés essentiels.

Les vertus médicinales du jus d’aloe vera

renforcement du système immunitaire ;
atténuation des douleurs musculaires ;
action anti-rhumatismale ;
diminution du taux de mauvais cholestérol sanguin
diminution du risque d’hyperglycémie (source de diabète) ;
purification des voies urinaires ;
effet réhydratant ;
effet de détoxification de l’organisme.

Le jus d’aloe vera, allié du système digestif

Grâce à ses propriétés protectrices du système digestif, l’aloe vera est hautement efficace dans le traitement des brûlures d’estomac, ulcères, ballonnements et reflux gastro-oesophagiens.

action antiseptique au niveau intestinal ;
stimulation du transit intestinal ;
propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes et antifongiques ;
action cicatrisante.

Contre-indications

Le jus d’aloe vera est déconseillé aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 6 ans.

Les applications de l’aloe vera

Le gel d’aloe vera est recommandé pour les applications externes : hydratation de la peau, cicatrisation de l’épiderme…
Le jus d’aloe vera est utilisé par voie interne dans le cadre du renforcement du système digestif et du système immunitaire.

Comment choisir votre jus d’aloe vera

Il est important de privilégier :

un jus sans conservateurs : même d’origine naturelle (acide citrique ou ascorbique), les conservateurs détruisent les propriétés de l’aloe vera. Son jus devient alors inopérant.
un jus étiqueté « bio » : le label « bio » vous garantit non seulement l’absence de pesticides, mais également un jus issus du cœur de la feuille. En effet, certains fabricants extraient le jus de la feuille entière, dont une partie contient de l’aloïne, une substance toxique.
un jus pur : sans eau ajoutée ni arôme artificiel.
une bouteille en verre ambré : le verre ambré protège le liquide de l’oxydation, mais aussi des rayons ultra-violets. Il est idéal si vous souhaitez conserver naturellement le jus plus d’une dizaine de jours. En revanche, évitez les bouteilles en plastique car le jus est généralement imprégné de micro-particules de plastique.

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La cuisson à la vapeur douce : faite pour votre santé

La plus grande richesse qui soit, c’est la santé.
Virgile

Ne ruinez pas votre démarche santé

Si vous fournissez au quotidien l’effort de privilégier une alimentation saine et nutritive et d’investir dans des produits de qualité, il serait dommage que votre initiative soit sabotée et votre bonne volonté totalement inutile. Pourtant, c’est bien ce qui risque de vous arriver.

Pourquoi ? Tout simplement à cause de votre choix de cuisson alimentaire. Quasiment tous les modes de cuisson dépassent les 95 °C (cuisson au four, à l’eau, à la poêle, à la vapeur). Cependant, au-delà de cette température, tous les nutriments contenus dans les aliments naturels (vitamines, sels minéraux, fibres, oligoéléments) sont détruits lors de la cuisson. Or, ces éléments nutritifs sont essentiels au maintien d’une bonne santé.

Il existe un seul mode de cuisson qui préserve les nutriments essentiels pour votre santé : la cuisson à la vapeur douce.

Qu’est-ce que la cuisson à la vapeur douce ?

Il s’agit d’une cuisson à la vapeur dont celle-ci est maintenue sous 100°C. Cette cuisson dite « douce » permet aux aliments de conserver tous les bienfaits de leurs nutriments, essentiels à votre santé (vitamines, sels minéraux, fibres, oligo-éléments).

Quelle différence entre la cuisson vapeur et la cuisson vapeur douce ?

La cuisson vapeur

Elle consiste à compartimenter les aliments au-dessus d’une eau portée à ébullition, c’est-à-dire à minimum 100°C (jusqu’à 400°C en cuisine industrielle !). Cependant, dès 100°C, il y a déperdition, voire destruction des nutriments contenus dans les aliments. Or, ceux-ci sont nécessaires au maintien d’une bonne santé.

La cuisson vapeur douce

Elle consiste à cuire les aliments à moins de 100°C. Cette cuisson à basse température permet de préserver la valeur nutritive des aliments.

Quels sont les avantages de la cuisson vapeur douce ?

Elle préserve la texture des aliments ;
Elle rehausse le goût d’origine des aliments ;
Elle conserve tous les bienfaits nutritifs des aliments, essentiels à votre bonne santé : vitamines, sels minéraux, fibres, oligo-éléments ;
Elle élimine les pesticides et métaux lourds présents dans les aliments.

Quels aliments cuire à la vapeur douce ?

Tous les aliments autorisés dans le régime Seignalet : les légumes et légumineuses, le poisson, la viande et le riz.

Pourquoi la cuisson vapeur douce est-elle le mode de cuisson idéal ?

Au-delà des avantages évidents de la cuisson vapeur douce (préservation des nutriments, élimination des pesticides et métaux lourds, etc.), je voudrais apporter une réponse personnelle à la question posée dans ce point : je pense que la cuisson vapeur douce est la seule qui soit bénéfique pour notre santé car elle est la seule qui soit naturelle (ou Seignalet). Elle n’est pas issue de la technologie moderne mais imite au contraire fidèlement le mode de cuisson mis au point par nos ancêtres de l’ère paléolithique : ils cuisaient leurs aliments à la chaleur du feu de bois, en toute simplicité. Ainsi, les éléments de la nature leur permettaient de cuire les aliments tout en jouissant de tous leurs bienfaits nutritionnels.

Le régime et la cuisson Seignalet démontrent une chose essentielle : tout ce dont nous avons besoin nous est fourni par la nature. Aucune découverte, aucun « progrès » humain ne pourra jamais égaler les cadeaux que nous offre la nature. D’ailleurs, c’est lorsque nous avons commencé à les refuser que nous nous sommes perdus. Pourtant, la nature continue à nous ouvrir les bras, dans l’éternel espoir que nous retrouvions un jour notre chemin…

Le régime Paléo : Seignalet « à la dure »

La rigueur vient toujours à bout de l’obstacle.
Léonard de Vinci

Qu’est-ce que le régime Paléo ?

Tout comme le régime Seignalet, le régime Paléo est d’abord un régime qui permet de conserver (ou retrouver) ligne et santé.

Leur point commun ? La suppression des produits contenant du gluten, du lactose, du sucre raffiné, des graisses saturées et des additifs chimiques. Autrement dit, la quasi-totalité des aliments (ultra)transformés issus de l’industrie agroalimentaire.

Leur différence ? Le niveau de permissivité. En effet, le régime Paléo vise à imiter strictement le régime alimentaire de nos ancêtres de l’ère paléolithique. Dans cette optique, les aliments suivants (autorisés par le régime Seignalet) sont proscrits :

les céréales non mutées (riz, sarrasin, sésame, quinoa, tapioca, amarante, sorgho…) ;
les pommes de terre ;
les légumineuses ;
la charcuterie crue ;
les jaunes d’oeufs.

Le régime Paléo, régime des stars

Voici quelques célébrités ayant adopté le régime Paléo :

Jennifer Aniston
Uma Thurman
Miley Cyrus
Jessica Biel
Megan Fox
Paul Walker

D’où vient le régime Paléo ?

En 1975, le gastro-entérologue américain Walter L. Voegtlin établit le lien entre alimentation moderne et développement des maladies chroniques, qu’il détaille dans son ouvrage : « The Stone Age diet » (le régime de l’Âge de pierre).

Dix ans plus tard, le régime Paléo sera popularisé par un article du dr. S. Boyd Eaton dans une célèbre revue scientifique américaine.

Mais le véritable essor du régime Paléo naît des recherches du pr. Loren Cordain, professeur émérite à l’université du Colorado. Il publie « The Paleo Diet » (le régime Paléo), avant d’initier le mouvement Paléo. Très suivi aux Etats-Unis depuis de nombreuses années, il est en plein essor en France.

Tableau comparatif des régimes Paléo et Seignalet

Le régime Seignalet, trop permissif ?

Le régime Seignalet autorise la consommation de charcuterie crue et de légumineuses. Or, ces aliments semblent incompatibles avec un régime visant l’amélioration de la santé digestive.

La charcuterie crue

La charcuterie crue contient du sel raffiné (ou sel de table), comportant invariablement des additifs chimiques nocifs pour la santé. De plus, la charcuterie préemballée est généralement imprégnée de micro-particules de plastique.

Les légumineuses

Les légumineuses comprennent les lentilles, haricots, pois, fèves et pois chiches. Or, la consommation de ces aliments n’est pas recommandée aux personnes souffrant de troubles digestifs chroniques.

Le régime Paléo, trop restrictif ?

Le régime paléo, quant à lui, proscrit sans raison apparente trois aliments de base, parmi les plus nourrissants : les céréales non mutées (riz, sarrasin, sésame, quinoa, tapioca…), les pommes de terre et les oeufs.

Les céréales non mutées

Les céréales non mutées comprennent le riz, le sarrasin, le sésame, le quinoa, le tapioca, l’amarante, le sorgho, le fonio et le teff.

Le riz constitue l’aliment de base de nombreuses cultures. Il s’agit d’une céréale non transformée et ne contenant pas de gluten. De plus, il est très nourrissant et contribue à la sensation de satiété. En outre, la farine de riz remplace avantageusement la farine de blé pour le pain, les pâtes ou les pâtisseries.

De même, les autres céréales non mutées ne présentent aucun risque pour les personnes souffrant de troubles digestifs chroniques.

Ainsi, bien que proscrites, les céréales non mutées paraissent être indispensables au maintien sur le long terme du régime Paléo.

Les pommes de terre

La pomme de terre est un fruit considéré comme féculent de par sa haute teneur en amidon. Produit de la terre (comme son nom l’indique), non transformée et sans gluten, la pomme de terre contribue fortement à la sensation de satiété. Par ailleurs, ses nombreux nutriments en font un aliment excellent pour la santé.

Les oeufs

Le régime Seignalet autorise la consommation de jaunes d’œufs alors que le régime Paléo la proscrit.

Pourtant, les jaunes d’oeufs contiennent :

Des vitamines (B2, D, E, K) ;
Des sels minéraux (sélénium, potassium, zinc, sodium, phosphore) ;
Des protéines « complètes » ;
Les 8 acides aminés essentiels ;
Des acides gras insaturés (du « bon gras », nutritif) ;
Des acides gras oméga-3.

Pourquoi tant d’interdictions dans le régime Paléo ?

Certains aliments nutritifs et sans contre-indications, comme les œufs, le riz ou les pommes de terre, paraissent proscrits dans un but purement commercial : celui de lancer sur le marché un régime imitant strictement l’hygiène alimentaire de l’ère paléolithique, époque à laquelle l’agriculture et l’élevage n’existaient pas encore. En effet, il est plus vendeur de créer un régime caricatural, qui pourra facilement être rangé dans une case. Ainsi, les personnes qui adoptent le régime Paléo se donnent l’impression de vivre comme des hommes des cavernes.

Or, l’objectif de l’adoption du régime Paléo n’est pas de jouer à un jeu, mais de restaurer sa santé et de la conserver sur le long terme. Cependant, la proscription de plusieurs aliments de base voue le régime Paléo à n’être suivi qu’à court terme. En effet, il est trop astreignant de se priver sur une longue période d’aliments aussi nourrissants que le riz, les œufs ou les pommes de terre.

Le régime Paléo dans sa version la plus commerciale se tire donc une balle dans le pied par cette multiplication de restrictions inutiles.

Seignalet ou Paléo : quel régime santé choisir ?

Les principes stricts du régime Paléo ou la relative permissivité du régime Seignalet ? La réponse est simple : vous n’avez pas à choisir ! La stratégie la plus avisée consiste à créer une combinaison des deux régimes sur base de vos besoins spécifiques.

Par ailleurs, dans le cadre de votre nouveau régime alimentaire comme dans tout autre domaine de votre vie :

Restez critique. Ne suivez pas aveuglément un guide unique, effectuez vos recherches dans différentes directions et tracez votre chemin de façon éclairée, en accord avec vos principes et vos besoins spécifiques.
Ne vous collez pas d’étiquette. Par exemple, clamer à votre entourage que vous avez adopté le « sans-gluten » est le meilleur moyen de culpabiliser à la moindre bouchée de pain, d’avoir une impression d’échec et de vous décourager.
Ne laissez pas ce que vous mangez vous définir. Vous êtes plus complexe que cela !

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Les meilleurs ouvrages sur le régime Paléo

Auteur : Blandine Baslé

Titre : « Paléo, les 125 recettes faciles et gourmandes de Blandine »

Résumé du livre de recettes :

Petits déjeuners, apéritifs, entrées froides, entrées chaudes, plats, desserts, douceurs et en-cas, sauces et condiments, boissons… entrez dans le monde de la cuisine paléo et découvrez les 125 recettes de Blandine !

Faciles et gourmandes, les créations paléo de Blandine favorisent une alimentation de bonne qualité, basée sur de vrais aliments « vivants » et si possible bios et locaux. Cela comprend la consommation de légumes (beaucoup !), de fruits, de viande, de poisson, d’oléagineux, d’œufs, de bon gras riche en oméga-3… Le tout en évitant les aliments modernes qui n’existaient pas à l’époque paléolithique, notamment les aliments transformés, sucres raffinés, céréales, produits laitiers et légumes secs.

Blandine Baslé est co-créatrice du site www. Bmoove. Com, la première communauté Facebook paléo en France. Paléovore affirmée, gourmande de nature, Blandine a toujours aimé cuisiner pour créer et partager. Elle est également une maman sportive et trouve primordial d’allier la santé à l’alimentation.

A travers cet ouvrage, elle tient à montrer que l’on peut cuisiner paléo facilement pour manger sainement en se faisant plaisir et en faisant plaisir aux autres.

Auteur : Marc-Olivier Schwartz et Thomas Renoult

Titre : « Manger Paléo – Léger en glucides, sans gluten et sans lait »

Résumé du livre :

Efficace pour perdre du poids, gagner de la masse musculaire, contrôler un diabète et retrouver un niveau d’énergie élevé… Le mode de vie paléo fait de plus en plus d’adeptes en France. Il consiste en premier lieu à revenir à l’alimentation de nos origines. L’alimentation paléo est la seule alimentation à laquelle notre corps est véritablement adapté. Mais comment manger paléo en pratique ?
Ce livre donne les bases de l’alimentation paléo : les aliments autorisés (exit les céréales et les laitages), les matières grasses recommandées, les modes de cuisson, les ustensiles à privilégier et ceux à éviter… Et pour ceux qui manquent d’inspiration, il propose 4 semaines de menus ainsi que 75 recettes pour la cuisine de tous les jours.

Ce livre a pour objectif de montrer que l’alimentation paléo, ce n’est pas forcément des racines, des baies sauvages ou la chasse comme subsistance ! L’alimentation paléo peut être délicieuse et variée, tout en étant très simple.

Auteur : Aglaée Jacob – diététicienne nutritionniste

Titre : « Je me mets au Paléo – 30 jours pour adopter

le régime de nos ancêtres et retrouver la forme. »

Résumé du livre :

Le Défi 30 jours PALEO pour retrouver ligne, forme et santé.

Marre des ennuis digestifs, des coups de barre, des kilos en trop, du cholestérol et du sucre sanguins qui ne baissent pas ? Ce livre fait le pari que vous pouvez leur dire définitivement adieu en 30 jours à peine, et retrouver la pleine santé, comme avant vous des centaines de milliers d’adeptes du Paléo. Faites-en l’expérience dès aujourd’hui en relevant le Défi 30 jours paléo.

Laissez-vous guider par Aglaée Jacob vers le régime alimentaire de vos ancêtres, le seul qui vous convient : des aliments naturels non transformés, non dénaturés, parfaitement adaptés à votre physiologie. Légumes à volonté, viande, poisson, fruits frais, noix. Ni sucre, ni aliments industriels, ni gluten, ni laitages.

En quelques jours vous allez réapprendre à votre corps à fonctionner de façon optimale et constater les effets incroyables de cette alimentation sur votre niveau d’énergie, votre moral et votre santé. Grâce à ce livre hyperpratique, vous saurez :

En un clin d’oeil si un aliment est paléo ou non.
Pourquoi il est urgent de réhabiliter les graisses.
Où et comment faire ses courses.
Comment organiser ses repas.
Comment éviter les petits tracas fréquents lors de la transition.
Comment mesurer objectivement les bénéfices.

Aglaée Jacob est diététicienne-nutritionniste au Canada. Pionnière du mouvement paléo au Québec, elle anime le blog JeMeMetsauPaleo.com. Elle est suivie par 10 000 personnes sur les réseaux sociaux. + 40 recettes originales et 9 jours de menus pour garder une alimentation variée.

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Les meilleurs ouvrages sur le régime Seignalet

Auteurs : Dominique Seignalet et Anne Seignalet

Titre : Comprendre et pratiquer le régime Seignalet – L’alimentation ou la troisième médecine

Résumé du livre :

Pourquoi un organisme se met-il subitement à dysfonctionner après des années de bons services ? Pourquoi développe-t-on telle ou telle maladie chronique ? Alors que l’on s’intéresse le plus souvent aux symptômes, qu’en est-il de la ou des causes d’une maladie ? On sait qu’il existe une prédisposition génétique, variable d’un individu à l’autre, face à laquelle nous sommes encore impuissants. Mais on sait que la santé dépend aussi de facteurs de l’environnement sur lesquels il est plus facile d’agir. L’alimentation, carburant de notre organisme, est, pour le Dr Jean Seignalet, auteur de L’alimentation ou la troisième médecine, le premier de ces facteurs environnementaux. Ses hypothèses démontrent comment une alimentation bien choisie peut prévenir, mais aussi freiner totalement, le processus de nombreuses maladies chroniques. Les arguments scientifiques et les résultats pratiques de sa méthode alimentaire pour 91 maladies au mécanisme jusque-là mystérieux, sont largement détaillés dans L’alimentation ou la troisième médecine, ce qui permet de comprendre pourquoi et comment la méthode alimentaire hypotoxique est efficace. Afin de simplifier l’approche et de tirer tous les profits de cet ouvrage complet et décisif qui s’adresse au grand public comme aux médecins, nous vous proposons ce petit guide destiné à en faciliter la lecture et la compréhension. Une large partie consacrée aux aspects pratiques de la méthode alimentaire, reprend les principes du régime de Jean Seignalet, et propose des conseils et des astuces utiles au quotidien.

Auteur : Jean-Marie Magnien

Titre : « Réduire au silence 100 maladies avec le régime Seignalet »

Résumé du livre :

Polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, sclérose en plaques, arthrose, fibromyalgie, diabète de type 2, colite, maladie de Crohn, gastrite, acné, eczéma, psoriasis, asthme, rhume des foins, bronchite chronique, rhinite chronique, aphtes, migraine. Des maladies dégénératives, auto-immunes, chroniques, devant lesquelles la médecine est désarmée.

Cet ouvrage délivre aux nombreux malades un message d’espoir. Il est possible de retrouver une qualité de vie que l’on croyait perdue grâce au régime Seignalet, une diététique sans gluten ni laitages, avec des compléments nutritionnels, dont l’efficacité a été constatée sur plus de 4 000 malades. Un régime qui respecte un principe cher à la médecine : d’abord ne pas nuire.
Peut-on réellement améliorer 100 maladies chroniques par la seule alimentation ?
Jean-Marie Magnien, biologiste : – Oui, on peut les réduire au silence, et diminuer, voire supprimer le recours aux médicaments.

Pour quel pourcentage de réussite ?

– 80 à 100 %, sans effets secondaires. Mais il ne s’agit que de rémission, pas de guérison car le moindre écart alimentaire réactive la maladie.

Jean-Marie Magnien est ancien biologiste des hôpitaux, chef de service,pharmacien, nutritionniste et nutrithérapeute. Il forme aujourd’hui des médecins à la méthode Seignalet en s’appuyant sur l’immunologie.
Cet ouvrage a été écrit avec la participation du Dr Moncef Jemmali, nutritionniste et nutrithérapeute.

Auteurs : Anne Seignalet, Valérie Cupillard, Emmanuel Cupillard

Titre : « L’essentiel du régime Seignalet : recettes gourmandes »

Résumé du livre de recettes :

Découvrez 60 recettes gourmandes pour cuisiner chaque jour avec plaisir et simplicité en appliquant les principes de l’alimentation Seignalet. Ces recettes saines et gourmandes sont accompagnées de nombreux conseils pratiques, pour répondre à toutes vos questions : comment remplacer un petit déjeuner classique ? Quelle farine choisir pour ma pâte à tarte ? Comment remplacer la béchamel ou le beurre dans un gratin ? Que mettre dans mon bento pour déjeuner au bureau ? Comment faire un gâteau sans beurre ni farine de blé ? Quelle huile adopter pour mes cuissons douces ?… La diététique du Dr Seignalet favorise les aliments et modes de cuisson les mieux adaptés au corps humain. Il préconise d’éviter les aliments mal digérés (laits animaux et céréales mutées) qui peuvent à terme provoquer des maladies et recommande le cru et les cuissons douces (à moins de 110°C). La méthode Seignalet est un ensemble de pratiques alimentaires très efficaces pour lutter contre plus de 90 maladies chroniques (arthrose, colite, diabète, Parkinson…). Au-delà des bienfaits sur la maladie, ceux qui pratiquent le régime Seignalet ressentent un regain d’énergie, moins de fatigue, plus de plaisir à manger, et retrouvent leur poids de forme dans 80 % des cas.

Auteur : Colette Lesur

Titre : La 3^e cuisine – Pour suivre facilement le régime hypotoxique du dr. Jean Seignalet

Le régime alimentaire ancestral, hypotoxique, est souvent et profondément efficace dans la prévention et le traitement de nombreuses maladies. Aussi est-il adopté par un nombre croissant de personnes en France et à l’étranger.

Les principes, les indications et les résultats de cette méthode nutritionnelle sont exposés de façon détaillée dans mon ouvrage : « L’alimentation ou la troisième médecine ». L’application de ce programme constitue un énorme changement par rapport à l’alimentation ordinairement pratiquée à notre époque. Ceux qui souhaitent appliquer le régime hypotoxique se demandent souvent comment ils vont établir des menus équilibrés et variés…

Colette Lesure connaît les bienfaits d’une nourriture bien choisie, puisqu’elle en a elle-même tiré un grand profit pour sa santé. Les divers traitements qu’elle avait essayés avaient échoué. Le régime alimentaire ancestral a entraîné, en quelques mois, une rémission complète de la polyarthrite rhumatoïde et du Gougerot-Sjögren, rémission qui se poursuit à l’heure actuelle. Elle a donc décidé de faire bénéficier d’autres patients de ses nouvelles connaissances en matière de nutrition.

A côté des recettes élaborées par mon confrère le Dr Christian Pauthe, en collaboration avec Jean-Marie Ozanne, qui se cantonnent aux aliments crus, je rappelle que la cuisson reste autorisée, à condition de ne pas dépasser 110°C. Ceci est aisément réalisable par la cuisson à la vapeur douce, effectuée à l’aide d’un cuit-vapeur. Ainsi ce livre propose des recettes compatibles avec le régime ancestral, comportant des produits cuits.

Les recettes sont présentées de façon claire et pratique. Elles paraissent souvent savoureuses, sans doute parce que l’auteur est une femme gourmande et un véritable cordon bleu.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le régime alimentaire ancestral est parfaitement compatible avec une gastronomie de haut niveau. Je souhaite donc que ce livre connaisse tout le succès qu’il mérite.

Après les publications du Dr Pauthe et de moi-même, qui apportent la vision des médecins, il est bon de connaître la conception du régime hypotoxique par une personne qui n’appartient pas au corps médical, mais qui représente ici les malades et le grand public. «

Auteurs : Anne Seignalet et Frédérique Cervoni

Titre : « Le régime Seignalet en 45 recettes spécial cru : 100 % sans gluten

et sans lait »

Résumé du livre de recettes :

Manger cru selon les principes du régime Seignalet, ce n’est pas manger triste ! Du carpaccio de bar à la mangue au cheesecake vegan aux fruits rouges, en passant par les rouleaux de printemps au magret séché, découvrez toute la richesse de cette alimentation saine et énergisante ! Vous trouverez également dans ce livre tous les conseils et astuces pour pratiquer l’alimentation crue dans le cadre du régime Seignalet : Comment manger cru et équilibré ? Quel est le matériel adapté ? Comment apporter plus de goût et de croquant ? Comment varier les menus au quotidien ?… Avec le cru, vous allez vous régaler ! Qui l’eût cru ?

Auteurs : Anne Seignalet et Valérie Cupillard

Titre : « Le régime Seignalet en 60 recettes – Tous les conseils pratiques

pour un quotidien sans gluten et sans lait »

Résumé du livre de recettes :

CHANGEONS NOS HABITUDES POUR NOTRE BIEN-ÊTRE !

La diététique du Dr Seignalet préconise d’éviter les aliments difficiles à digérer (laits animaux et céréales mutées) qui peuvent à terme provoquer des maladies et recommande le cru et les cuissons douces. Regain d’énergie, moins de fatigue, plus de plaisir à manger : testez vous-même !

60 recettes faciles, saines et gourmandes, à réaliser au quotidien.

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